Missing you, Mumbai (2)

Ahhhh.. ... le lait de coco, que l'on boit directement de la noix de coco, avec une jolie paille rose fushia !

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Mumbai - 28 février 2010

Comments

[Gilsoub]

Yes c'est super bon!

[ninou]

ce n'est pas parce que je suis silencieuse que je n'apprécie pas ;o)

[Maryvonne]

Oui je connaissais, ayant passé 4 ans en Polynésie Française ... et j'avoue que ce lait de coco n'était pas franchement ma tasse de thé.
Merci Tippie, de nous faire partager ce voyage, nous en profitons à travers tes textes et photos, c'est ainsi que nous voyageons aussi un peu et cela fait du bien à nos âmes refroidies !

[Mlle Moi]

En fait, le "lait" de coco, et l'eau de coco c'est pas la même chose.

Ce qu'on appelle le lait de coco est fabriqué en pressant de la noix de coco (fraîche) rapée et arrosée avec l'eau de coco. On exprime le jus en pressant tres fort le truc entre ses mains, par exemple.. Contrairement à l'eau de coco, ça se cuisine, et ça se boit pas tellement tel quel..

(pff j'ai un méchant coup de nostalgie, à te lire, mdame..)

[Tippie]

Bon, je ne sais pas pour vous, mais pour moi c'était nouveau, ces noix de coco vertes avec un maximum d'eau (lait) dedans et un peu de "pulpe" au fond !
Alors que la noix de coco murit, ce "lait" durcit, il devient de la pulpe, puis enfin, cette couche de noix de coco dure et bien blanche que nous mangeons ici, en Europe.
Enfin, perso, je n'ai jamais acheté de noix de coco verte, je ne connais que celle qui est très mure avec le peu de lait dedans et surtout cette couche blanche que l'on coupe au couteau et qui fait mal à l'estomac quand on est trop gourmande comme moi et qu'on en mange trop en une seule fois ! :)

Le lait de coco (les indiens appellent ça de l'eau), c'est super rafraichissant et bon pour le système digestif. C'est le genre de commerce qui marche très bien dans les rues. Pendant une pause boulot, ou lors de la promenade dominicale, les indiens aiment passer par le marchand de noix de coco pour se désaltérer.

3-4 Euros (20-25 rupees_ par noix de coco.

Je ne sais pas comment le marchand a encore deux jambes et dix doigts ! A le voir manier son couteau très affiné sur ces noix de cocos très dures, j'avais sans cesse peur que le couteau dérape et qu'il ne se coupe un doigt ou se lacère un genou. A la fin, je n'osais même plus regarder!