8 octobre 2009
Herpès II - The retour maudit
Pétard, à peine deux mois plus tard: nouvelle crise de stress et herpès sur la paupière droite.
Je m'en suis rendue compte hier, j'ai mis de la crème qui ne semble faire qu'empirer les choses... En même temps, je sais que c'est normal. Le bouton de fièvre va 'fleurir' quoi que je fasse pendant quelques jours avant de pouvoir se résorber peu à peu avec les médicaments. Mais justement, les médicaments... Je n'en ai point! Il me faut des tablettes à la magie lente et incertaine mais visiblement, y'a pas encore mieux sur le marché des cachetons néerlandais. C'est une cure de 5 jours, 5 cachets par jour, reçue sous prescription délivrée par le médecin, exclusivement, et normalement, seulement après consultation.
J'ai appelé dès 8h30 ce matin, la secrétaire a compris que ce n'était pas la 1ère fois et même, que j'étais passée par là, déjà fin juillet dernier: elle a pu parler au médecin et s'arranger pour que l'ordonnance soit envoyée directement à la pharmacie dans l'après-midi, sans que le médecin me voit.
La Hollande c'est un peu compliqué en ce qui concerne la santé... On a un médecin attitré dont il est aussi difficile de se défaire que d'être accepté ailleurs (!). Chacun a donc sa clientèle et si vous avez choisi le mauvais le jour où vous avez franchi la porte du cabinet qui vous semblait propre et joli, ben... C'est tant pis pour vous. S'il ne vous plait pas, faudra pas tomber malade. Voilà.
Je vais pas commencer à blablater sur le mien.. Enfin, les miens, en fait, car ils se partagent un cabinet. Avec lui, je n'ai jamais vraiment eu *le clic* et avec elle, ça le fait bien. Ce qui fait que m'arrange pour être malade (ou aller leur rendre visite) que le mercredi ou vendredi, quand -elle- est là. Aujourd'hui, c'est jeudi mais... euh, y'a prescription: il me fallait une ordonnance de toute urgence. Ceci dit, la pharmacie, c'est comme le médecin. Enfin, on peut changer plus facile de crèmerie, mais quand on s'y abonne, faut pas aller voir ailleurs parce que sinon, on ne vous donne rien. Ah ah, non mais oh! Faut pas aller manger chez le voisin. Pendant un temps, j'avais changé de pharmacie: plus proche de la maison (du temps où j'habitais de l'autre côté de la ville), mais loin du médecin. C'est tout aussi peu pratique en fait. C'était bien pour les ordonnances que l'on peu renouveller sur simple appel chez le docteur mais quand il fallait aller le voir, il me fallait ensuite, en plus, faire un détour par la pharmacie pas loin de chez moi. Je suis revenue au plan A: pharmacie près du docteur... A l'autre bout de la ville. *soupiiiiiir*. 30 minutes de vélo, cet aprèm, entre les rapports (toujours pas finis :( ), les 4 conférences (gâtée, j'étais, today) et les 200 mails tombés comme des cheveux sur la soupe... dans ma boite. Pfff! Le pire, vraiment, c'est que j'y suis allée pour rien. Oui, m'sieurs-dames, pour RIEN. Les cachetons devaient être commandés.
-"Je ne peux pas aller les chercher ailleurs? Parce que bon... Faudrait que je commence la cure assez rapidement, quand même...!"
Nope ! Il faut gentiment attendre qu'ils soient livrés... ET revenir les chercher plus tard dans la soirée, avant la fermeture. 30 minutes de vélo pour y aller, 30 minutes pour rentrer, 30 minutes pour y retourner, 30 minutes pour rentrer de nouveau. Se foutent de moi, là ! En voiture, n'y pensons pas: entre 16 et 18h, la circulation est la plus intense et c'est trop le bordel pour traverser la ville. En bus, même topo et ça prend des plombes, il faut changer 2 fois.
-"Ecoutez, je comprends le soucis. Je peux vous les faire livrer."
C'est gratuit et apporté à la porte de ma maison *ding dong*! Trop beau pour être vrai...
Je m'en suis rendue compte hier, j'ai mis de la crème qui ne semble faire qu'empirer les choses... En même temps, je sais que c'est normal. Le bouton de fièvre va 'fleurir' quoi que je fasse pendant quelques jours avant de pouvoir se résorber peu à peu avec les médicaments. Mais justement, les médicaments... Je n'en ai point! Il me faut des tablettes à la magie lente et incertaine mais visiblement, y'a pas encore mieux sur le marché des cachetons néerlandais. C'est une cure de 5 jours, 5 cachets par jour, reçue sous prescription délivrée par le médecin, exclusivement, et normalement, seulement après consultation.
J'ai appelé dès 8h30 ce matin, la secrétaire a compris que ce n'était pas la 1ère fois et même, que j'étais passée par là, déjà fin juillet dernier: elle a pu parler au médecin et s'arranger pour que l'ordonnance soit envoyée directement à la pharmacie dans l'après-midi, sans que le médecin me voit.
La Hollande c'est un peu compliqué en ce qui concerne la santé... On a un médecin attitré dont il est aussi difficile de se défaire que d'être accepté ailleurs (!). Chacun a donc sa clientèle et si vous avez choisi le mauvais le jour où vous avez franchi la porte du cabinet qui vous semblait propre et joli, ben... C'est tant pis pour vous. S'il ne vous plait pas, faudra pas tomber malade. Voilà.
Je vais pas commencer à blablater sur le mien.. Enfin, les miens, en fait, car ils se partagent un cabinet. Avec lui, je n'ai jamais vraiment eu *le clic* et avec elle, ça le fait bien. Ce qui fait que m'arrange pour être malade (ou aller leur rendre visite) que le mercredi ou vendredi, quand -elle- est là. Aujourd'hui, c'est jeudi mais... euh, y'a prescription: il me fallait une ordonnance de toute urgence. Ceci dit, la pharmacie, c'est comme le médecin. Enfin, on peut changer plus facile de crèmerie, mais quand on s'y abonne, faut pas aller voir ailleurs parce que sinon, on ne vous donne rien. Ah ah, non mais oh! Faut pas aller manger chez le voisin. Pendant un temps, j'avais changé de pharmacie: plus proche de la maison (du temps où j'habitais de l'autre côté de la ville), mais loin du médecin. C'est tout aussi peu pratique en fait. C'était bien pour les ordonnances que l'on peu renouveller sur simple appel chez le docteur mais quand il fallait aller le voir, il me fallait ensuite, en plus, faire un détour par la pharmacie pas loin de chez moi. Je suis revenue au plan A: pharmacie près du docteur... A l'autre bout de la ville. *soupiiiiiir*. 30 minutes de vélo, cet aprèm, entre les rapports (toujours pas finis :( ), les 4 conférences (gâtée, j'étais, today) et les 200 mails tombés comme des cheveux sur la soupe... dans ma boite. Pfff! Le pire, vraiment, c'est que j'y suis allée pour rien. Oui, m'sieurs-dames, pour RIEN. Les cachetons devaient être commandés.
-"Je ne peux pas aller les chercher ailleurs? Parce que bon... Faudrait que je commence la cure assez rapidement, quand même...!"
Nope ! Il faut gentiment attendre qu'ils soient livrés... ET revenir les chercher plus tard dans la soirée, avant la fermeture. 30 minutes de vélo pour y aller, 30 minutes pour rentrer, 30 minutes pour y retourner, 30 minutes pour rentrer de nouveau. Se foutent de moi, là ! En voiture, n'y pensons pas: entre 16 et 18h, la circulation est la plus intense et c'est trop le bordel pour traverser la ville. En bus, même topo et ça prend des plombes, il faut changer 2 fois.
-"Ecoutez, je comprends le soucis. Je peux vous les faire livrer."
C'est gratuit et apporté à la porte de ma maison *ding dong*! Trop beau pour être vrai...
De fait, il est 21H15 et je n'ai toujours pas vu un seul cachet.
A priori, enfin si j'ai bien compris, la livraison peut se faire jusque 21h30. Je n'y crois plus. Je n'ai qu'une envie, là, c'est de m'arracher l'oeil pour me débarrasser de cette gêne permanente.
A priori, enfin si j'ai bien compris, la livraison peut se faire jusque 21h30. Je n'y crois plus. Je n'ai qu'une envie, là, c'est de m'arracher l'oeil pour me débarrasser de cette gêne permanente.
C'est franchement inconfortable. Ca me chatouille, ça me gratouille, ça tire sur la paupière, ça fait mal, fièvre et ganglions enflés, fatigue, mal de tête, vision brouillée... Et tout le stress de n'avoir pu finir à temps et ne pas pouvoir avancer beaucoup plus tant que je n'ai pas de médicaments.
JE HAIS DE PUTAIN DE PAYS, NOM DE DIEU !!!! Rhaaaaaaaaaa !!
Edit (22h53)... Comme qui dirait... "Mieux vaut tard que jamais" ! A 22h40, un homme a frappé à la porte, à la fois confus et un peu énervé: il s'est excusé de son retard mais a du traverser 2 fois la ville pour m'apporter les cachets. J'étais trop contente de les avoir (je n'y croyais plus du tout) pour lui faire une quelconque remarque. "Merci beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup !!"... A bas, Murphy! Et vive mon ange gardien ! (là, y'en a forcément un !)
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